Un travail collaboratif
De nouveau encadrés par le graffeur EZRA, les 1STMG3, 1G1 et 1G9 ont poursuivi la réalisation de leur fresque le 31 mai et 1er juin sous un ciel plus clément. Des lycéens volontaires se sont joints à eux pour les aider à terminer dans les temps ou pour apprendre à faire des dégradés et des effets avec une bombe.
Le rôle de la compagnie des Indes dans la traite négrière mis en images
Après avoir mis en lumière le rôle de la Cie des Indes orientales dans le développement de la traite négrière dans l’océan Atlantique et dans l’océan Indien dans la première partie de leur fresque, les panneaux suivants se sont concentrés sur les plantations que possédaient la Cie des Indes orientales dans les Mascareignes et sur la fin du système esclavagiste.
Leurs derniers graffitis décrivent donc les conditions de travail sur les habitations et les sévices subis par les esclaves mais autorisés par le Code noir de Colbert. Les élèves ont également dessiné trois tableaux sur la révolte des esclaves et pour finir ils ont choisi de conclure leur fresque par le mot « Liberté »
Interviewés par une journaliste du Ouest-France, les 1STMG3 ont parfaitement su décrire le projet, ses finalités et son impact sur eux et les 1G1 ont eu les honneur de la photo forum dans le Télégramme.
La fresque est désormais exposée dans le grand gymnase. Afin d’éviter de subir trop d’intempéries.