Voici quelques témoignages d’élèves actuels ou anciens passé par la prépa ECG (ex-ECS) du lycée Dupuy de Lôme de Lorient.

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  • Margot, alors en deuxième année

C’est compliqué de choisir quoi faire après le lycée. Dans mon cas, je ne savais pas quoi faire car aucun métier ne m’attirait spécifiquement. J’ai choisi la prépa ECS car c’est une formation qui est assez générale et qui permet donc de garder un grand nombre de portes ouvertes. Cela a retardé une véritable spécialisation dans un domaine particulier et ça m’a permis de gagner – un peu – de temps pour réfléchir et étudier les choix qui s’offraient à moi.

  • Nadia, alors en deuxième année

J’ai décidé d’effectuer une classe préparatoire afin d’élargir mes connaissances, en particulier en histoire-géographie et en langues. Il était important pour moi de conserver une pluralité d’enseignements afin de mûrir mon projet professionnel. La régularité des DS et des interrogations orales nous oblige à être régulier, persévérant et rigoureux dans notre apprentissage, ce sont des atouts qui ne sont pas négligeables dans notre vie présente et future.

En ce sens, la classe préparatoire s’est présentée comme étant le meilleur choix. Aujourd’hui, elle m’apporte ce que je suis venue chercher sur le plan scolaire et me fait grandir sur le plan personnel, j’ai développé de nouvelles compétences et j’ai exploité d’une meilleure façon celles que possédais déjà. De plus, j’ai appris à travailler plus efficacement et à être mieux organisée. De manière globale, la prépa est enrichissante et nous apporte des qualités qui seront indispensables dans le monde du travail, du commerce.

  • Ewen, alors en première année

J’ai décidé d’intégrer une classe préparatoire économique et commerciale afin de préparer au mieux mon projet d’études qui est d’entrer dans une école de commerce.

Si j’ai choisi la prépa EC de Dupuy de Lôme, c’est en raison de sa taille humaine.

  • Léa, alors en première année

J’ai toujours eu, durant ma scolarité, une préférence pour les mathématiques et les matières littéraires (français et histoire).

C’est donc naturellement que je me suis dirigée vers une filière généraliste qui me permet de réfléchir pendant encore 2 ans à mon orientation.

Ça fait maintenant 3 mois que je suis en prépa et j’ai appris à m’organiser pour gérer les devoirs maison à rendre, les exercices à faire, les devoirs surveillés et les colles (oraux hebdomadaires) à préparer. Il est essentiel selon moi d’être motivé et organisé pour pouvoir tenir sur le long terme.

  • Jeanne, alors en première année

J’ai choisi de faire une classe préparatoire économique et commerciale, car je souhaitais me tourner vers un domaine plus général après ma terminale scientifique. J’ai choisi spécialement cette filière car toutes les matières me plaisaient.

Durant les premiers mois dans cette classe, j’ai déjà réussi à apprendre à gérer mon stress et à trouver une bonne organisation dans mon travail.

Faire une classe préparatoire est selon moi un bon moyen de repousser ses limites et d’acquérir de bonnes bases pour sa vie professionnelle future.

Cela permet de mieux se connaître.

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  • Mathieu, étudiant à KEDGE

J’ai choisi de faire une CPGE ECS car un chef d’entreprise de mon entourage m’a confié que lorsqu’il recrute, il élimine d’emblée les candidats n’ayant pas fait de classe préparatoire.

La classe préparatoire fut pour moi une expérience exceptionnelle que je recommencerai sans hésitation. Non seulement j’y ai appris énormément de connaissances et acquis une certaine culture générale (notamment grâce aux sorties au théâtre) mais je m’y suis également épanoui. Lors des entretiens, j’ai appris à parler de moi et à comprendre ce que chacune de mes activités m’apportait sur le plan personnel.

En bref, la prépa est avant tout une expérience humaine. On y apprend une rigueur de travail, beaucoup de choses mais on y rencontre aussi du monde ! Les amis que je m’y suis fait sont des amis que je verrais encore dans 20 ans.

  • Fanny, étudiante à NEOMA

La prépa a été pour moi à la fois la meilleure et la pire expérience de ma vie. Oui, la prépa c’est difficile, mais cela en vaut la peine : l’excellence qui se trouve au bout du tunnel vaut bien les sacrifices. C’est une formation assez éprouvante et stressante au long de ces deux années, on a parfois l’impression que les heures de travail consacrées à une matière ne sont pas récompensées mais la prépa est un marathon et non un sprint : la clé du succès est de travailler régulièrement, tout au long de l’année et dans toutes les matières.

Au-delà de cela, je ne regrette absolument pas d’avoir choisi ce parcours pour différentes raisons. D’abord, il y a une sorte d’émulation intellectuelle permanente : j’ai appris pendant ces deux années énormément de choses que je n’aurais sans doute pas découvert ailleurs, cela m’a permis d’acquérir une relative compréhension du monde dans lequel on évolue et j’en suis reconnaissante. Ensuite, la prépa c’est également beaucoup d’entraide : je n’ai jamais été dans une classe avec un tel esprit de groupe et je me sentais vraiment bien avec les élèves de cette classe. Enfin, la meilleure chose à faire selon moi est de ne pas tout sacrifier: il est important de continuer à faire du sport, ou voir des amis en dehors de la prépa, tout est une question d’organisation et c’est ce qui vous permettra d’obtenir un certain équilibre pendant ces 2 (voire 3) années.

  • Juliette, étudiante à NEOMA

Un choix que je ne regrette pas 

J’ai choisi de faire une CPGE ECS parce que j’avais besoin d’être suivie dans mon travail personnel et que je souhaitais approfondir mes connaissances dans toutes les matières. Si ce choix était à refaire aujourd’hui, je n’hésiterais pas une seule seconde.  Même si le rythme qu’impose une CPGE peut sembler un peu fou, on s’y adapte rapidement et il nous

permet de développer un esprit de synthèse et une efficacité d’organisation que l’on ne développerait pas autrement.

Une formation solide pour l’avenir

C’est la filière post-bac la plus généraliste, qui permet de construire et de structurer notre regard sur le monde, sur les grands enjeux de notre siècle et sur les défis auxquels nous serons confrontés dans notre vie professionnelle, tout en développant de façon significative nos compétences linguistiques en anglais et en LV2 (pour ma part, en allemand). Sans aller jusqu’à prétendre maîtriser ces deux langues, tout élève sortant de classe préparatoire vous assurera des progrès fulgurants qu’il a pu faire grâce à cette formation.

Une expérience humaine enrichissante

C’est, bien sûr, une formation très exigeante. Elle nécessite un véritable engagement, tant sur un plan scolaire que personnel. Néanmoins, c’est une véritable aventure humaine, qui nous permet de mieux nous connaître, tant dans notre travail que dans notre rapport à autrui. Je me suis découverte beaucoup plus travailleuse, curieuse et résistante que je ne l’aurais imaginé. J’ai été surprise de découvrir une telle solidarité, une telle entraide dans une filière réputée si égoïste. En vérité, chacun s’entraide et souhaite voir les autres réussir, pour aller le plus loin possible, tous ensemble.

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