3
Dans le cadre de ma deuxième année à Sciences Po, le Parcours Civique fait partie intégrante de la formation du collège universitaire.
J’ai donc décidé de l’effectuer au sein du Lycée Dupuy de Lôme auprès des concourants à Sciences Po et aux IEP, dans une perspective d’accompagnement de leur entrée dans le monde de l’enseignement supérieur !
ACCOMPAGNER
L’idée n’est pas de donner des cours puisque les professeurs de la prépa le font parfaitement.
Non, l’objectif premier est d’accompagner les élèves au travers d’un processus que j’ai moi-même vécu et affronté.
De la conception d’un projet jusqu’à l’admission en passant par la lettre de motivation ou encore l’oral d’admission, les anciens élèves de la prépa sont présents pour accompagner, conseiller, orienter.
C’est tout d’abord un soutien psychologique . En effet, connaître quelqu’un qui y est rentré à tendance à démystifier le concours d’entrée de Sciences Po.
C’est aussi permettre de rassurer chacun sur ses chances. Tous les étudiants de Sciences Po ne viennent pas des lycées parisiens et ne suivent pas des prépas privées. Dupuy de Lôme en est la preuve !
Le but est donc de déconstruire les idées reçues autour des grandes institutions de l’enseignement supérieur, d’accompagner tous les élèves motivés et de permettre de faire vivre un idéal méritocratique dans l’accès aux grandes écoles.
CONSEILLER
Ce sont aussi des conseils pratiques tout au long de la procédure d’admission : quels éléments mettre en avant dans une lettre de motivation ? Un oral ? Comment intégrer ses passions, ses projets dans une perspective d’étude à Sciences Po ?
Je me rends disponible toute l’année pour répondre à leurs questions, leur donner les quelques conseils que je peux, partager mon expérience, préparer les lettres de motivation et les entraîner à l’oral d’admission.
TRANSMETTRE
La notion de transmission est importante.
Ces enseignements sont d’ailleurs ceux que Hannes et Enzo (étudiants en Master 1 à Sciences Po maintenant et anciens élèves de Dupuy de Lôme) m’avaient eux-mêmes transmis, et, ceux que les futurs étudiants du 27 rue St Guillaume (ou ailleurs) transmettront à leur tour j’en suis sûr !