Le stage « Girls Can Code! » est un stage d’informatique qui a eu lieu au lycée Dupuy de Lôme le vendredi 12 avril 2024 après midi.

Cinq étudiants ingénieurs de l’école EPITA de Paris et de Rennes, membres de l’association Prologin ont bénévolement encadrés pendant 3 heurs 38 élèves filles, volontaires, de seconde, première et terminale. 

Contenu et planning des Girls Can Code!

Au programme, de la programmation sur micro-controleurs (microbit), et des challenges de hacking, tout ça dans la bonne humeur.

Pourquoi : pour améliorer la parité en informatique

Girls Can Code! a été créé dans le but d’encourager des filles à s’essayer à l’informatique malgré le manque de femmes et les stéréotypes dans le domaine.

Organisateur :

l’association Prologin
Prologin est une association de bénévoles dont la mission principale est d’organiser le concours d’informatique Prologin.

Témoignages d’élèves

J’ai passé un bon moment, j’ai trouvé que les activités étaient intéressantes. II y avait une très bonne ambiance et les intervenants étaient très sympas (dommage qu’il n’y avait aucune femme). C’était vraiment bien pour découvrir le codage pour ceux qui n’en ont jamais fait.

Elève de terminale.

Les activités étaient ludiques et amusantes, pour tous les niveaux (spé NSI, comme niveau zéro); Je pense que mon niveau de codage a augmenté grâce à la 1ère acitivité (sur carte microbit, il fallait coder un chifoumi en étant guidé pas à pas). La deuxième activité (initiation au hacking) m’a permis de découvrir le fonctionnement de la console d’une page web et de découvrir d’autres langages de programmation Les animateurs étaient cool et à l’écoute.

Elève de terminale.

Je trouve que l’activité s’adapte à tous les niveaux. Personnellement je ne connaissais rien au langage python. Cet après midi m’a permis de découvrir le codage de manière ludique et rapide. Le fait de voir grâce aux cartes microbit que notre programme fonctionnait était stimulant. J’ai trouvé les animateurs sympas et à l’écoute.

Elève de terminale.

J’ai bien aimé les activités proposées, notamment la première car elle était interactive et intéressante : c’était assez amusant et satisfaisant de faire fonctionner la microbit et de créer un jeu. Cependant, je n’ai pas compris pourquoi il n’y avait que des hommes qui sont venus animer « girls can code » car le but était de motiver les femmes à aller dans l’informatique, donc je pense qu’avoir des femmes qui nous parlent de leur parcours et de ce qu’elles font aurait rendu les choses d’avantage intéressante.

Léa, Elève de terminale.

L’apprentissage du « coding » a été ludique  avec les sites associés et les microbits. J’ai beaucoup aimé pouvoir faire apparaître des motifs LED sur les microbits à l’aide de mes programmes. Le stage m’a permis de réfléchir différemment et d’établir des stratégies cohérentes afin de réaliser un programme.  Les parcours proposés étaient sur des thèmes intéressants comme le « hacking ». J’ai pu découvrir d’autres alphabets numériques et échanger avec des ingénieurs et élèves en spécialité NSI. Les organisateurs étaient impliqués et agréables. Le stage m’a finalement permis de découvrir d’autres domaines de l’informatique.

Claire, Elève de terminale.

Quelques détails fournis par les intéressées :

 

« nous avons programmé pour que les LEDS des microbits s’allument à certains endroits afin de former une image animée.

On peut voir le résultat dans la vidéo ce dessous » :