« Il y a un autre monde mais il est dans celui-ci ».

Découvrez le témoignage et créations de Nathanaël Litoux , étudiant en MPSI, amoureux de la poésie en anglais.

Bel exemple du fait que poésie et esprit scientifique ne sont pas antinomiques mais complémentaires d’une même réalité.

Eluard n’affirma-t-il pas qu’ « il y a un autre monde mais il est dans celui-ci ? « 

De la lecture à l’écriture

« Lors de mes études, la découverte de nombreux auteurs incluant Kei Miller, Edgar Allan Poe ou Emily Dickinson a développé ma curiosité .

De plus , j’ai découvert par moi même d’autres poètes, comme Howard Philip Lovecraft ou Percy Bische Shelley.
Bien évidemment, lire des poèmes régulièrement et les étudier m’a poussé à en écrire quelques uns.

En réalité, le goût de l’écriture commence avec celui de la lecture, et de l’intérêt grandissant pour la littérature en elle-même.

 

Une façon différente d’apprendre l’anglais

Une fois que l’on apprécie la poésie, il est facile de s’investir dans celle d’une autre langue, et d’y trouver aussi un prétexte pour mieux l’apprendre, ou pour aborder son apprentissage sous un angle littéraire.

Bien sûr, l’écriture ne devient un hobby qu’après de nombreux essais, et une pratique plus ou moins régulière, mais peu chronophage .

Enfin, être amateur de poésie ou de romans et étudier en filière scientifique ne sont pas deux choses incompatibles. Loin de là ! La preuve !

Bonne lecture ! »